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06 Sep
06Sep

Huile de soin RPAPAATI et BOIS ROUGE


Description Un soin spécifique pour les douleurs lombaires et cervicales… Cette huile de soin naturelle est issue d’une ancienne recette de fabrication amérindienne. Cet arbre, que l’on nomme bois rouge en Guyane, dont la résine est extraite, offre des propriétés semblables à celles du Baume du Pérou. La résine parfumée ou « baume humiri », offre des vertus médicinales, et est également, utilisée chez les populations amérindiennes pour se parfumer. Les vertus médicinales de ces deux plantes traitent et soulagent les douleurs lombaires et les douleurs au niveau des cervicales. Le papaati est tout simplement le bois violet ou amarante (peltogyne venosa). Ce gigantesque arbre d’Amazonie, produit des graines volumineuses, enfermées dans une coque très dure, se séparant en deux. Lorsque la graine arrive à maturité, la coque se sépare en deux parties, et c’est à ce moment que celle-ci contient le plus de substance résineuse. En effet, dans le macérat, on peut voir la formation d’une huile très dense qui s’épaissit, et qui donne une huile très peu fluide. Cette huile appliquée seule ne donne pas de résultats probants, car elle pénètre mal les pores de la peau, mais associée au « baume humiri », ou bois rouge, elle se fluidifie et offre des propriétés étonnantes, notamment pour les traiter les rhumatismes, surtout présents dans les changements de saisons (en Guyane, la transition entre la saison des pluies et la saison sèche), et dans les pays tempérés, lors des changements de saisons (4 saisons). Les autres DOM et TOM étant bien évidemment concernés


Pour quels types de peau ?

Tous types de peau. Apaisante et anesthésiante cette huile antalgique, soulage les rhumatismes 

 Sa Composition

·Fabriqué en Guyane dans le respect de l’environnement ·Non testé sur les animaux 

·Sans colorant, sans produits de synthèse, sans parfum ·Nom botanique : peltogyne venosa

Précisions importantes : lorsque l’on sabre l’écorce du papaati, il semble qu’aucune sève ne s’en exsude. Il est vrai que sur le moment, rien ne s’exsude, et il faut attendre quelques minutes pour qu’un filet de sève peu odorante coule. Ce qui nous intéresse, par contre, ce sont les coques, qui, mises à macérer dégagent une odeur de baume, puis l’huile s’épaissit, jusqu’à épuiser le substrat. Cette huile est épaisse et d’un beau jaune clair. Le papaati est une huile très peu utilisée, mais elle est comparable à une autre césalpiniacée : hymenaea courbaril, ou « caca chien », de laquel l’on extrait un vernis propre à traiter les plus belles créations amérindiennes. En ce qui nous concerne, l’action antibactérienne du papaati, réunirait les fonctions antibactériennes adéquates, promptes au traitement des bactéries infectant les articulations et disques lombaires (lombalgies). Contrairement au jacaranda qui régénère les os, le papaati, élimine la formation de foyers bactériens au sein des cartilages usés.

 ·Nom botanique : Peltogyne venosa 

·Nom vernaculaire : Papaati ·Nom botanique : humeria balsamifera 

·Nom vernaculaire : Bois Rouge, Humiri ·Principes actifs : oléorésine s’oxydant spontanément au contact de l’air (solide), stérols et terpènes (hydrocarbures), tanins (prompts à la cicatrisation) ·Procédé d'obtention : macération, et obtention de l’huile fluide de bois rouge et de l’huile épaisse de papaati, sous un taux d’hygrométrie adéquat. 

·Sans danger pour l'environnement

 ·Sans paraben


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