Le grand carapa, contient un principe amère, qui traite les parasitoses, telles que celles provoquées par les vers intestinaux. La bactérie de l'intestin : Escherichia Coli (E.Coli), qui, dans des conditions favorables est une bactérie nécessaire au bon fonctionnement de la flore bactérienne intestinale, mais qui, peut, dans de nombreux cas de faiblesses, devenir "pathogène", c'est-à-dire dangereuse, pour l'organisme. Cette bactérie devenue virulente, provoque, tout d'abord des diarrhées, puis des maladies associées, telles que des gastro-entérites, infections urinaires, septicémies, et même, des méningites. E.Coli est un bacille, une bactérie flagellée, qui a la capacité de se déplacer très rapidement dans un fluide, ici le fluide du corps humain.
L'association du carapa et du roucou, deux végétaux d'Amazonie, résorbe l'effet du venin de guêpes.
Que signifie une huile ? Pour nous tous, une huile est grasse, elle est fluide, plus épaisse, donc, plus sensible à l'oxygène, on dit qu'elle s'épaissie, on la place dans la catégorie des huiles dites "siccatives". Nos travaux ont commencé en forêt, au début des années 2 000, lorsque nous avons découvert la forêt amazonienne en résidant sur site, en pleine forêt primaire. D'après des renseignements des populations locales, nous avons pu identifier et classer. Le carapa - notamment - est un arbre très présent dans la forêt primaire, il est plus rare dans la forêt secondaire amazonienne. le carapa produit un fruit étrange, s'apparentant plus à une grosse bogue, et contenant des graines protégées par une enveloppe rigide, placées dans des loges. Lorsque l'on casse cette paroi rigide, une chaire blanche apparaît, cette chaire est très amère. Les amérindiens l'utilisent depuis des siècles comme vermifuge.
Le grand carapa, dans la forêt de Guyane française. dans le macérat de carapa, nous pouvons aussi observer les mêmes microorganismes que dans celui du bushidata, et l'efficacité de cette huile n'est plus à prouver sur les zoonoses, ces pathologies infectieuses véhiculées par la tique, et les acariens en général, comme le pou d'agouti, ce microscopique acarien qui infecte le sang et se dirige vers le flux sanguin le plus conséquent, celui du coeur. Il ne faut jamais laisser ces acariens atteindre cet organe, c'est très conseillé.
Les zoonoses sont des maladies infectieuses concernant l'espèce animale, mais, voilà, ceux-ci les transmettent à l'homme, car certaines espèces se nourrissent de sang, comme les moustiques, tel que le moustique tigre transmettant la dengue, appelée malaria au Brésil. Forte fièvre, vertiges, maux de tête, vomissements, refroidissements, toute une panoplie d'effets, vous donnant envie de vous débarrasser de ses "sympathiques" bestioles, qui vous inoculent des parasites de tout bord dans le sang, et qui vous contaminent.
Ce que l'on peut également observer dans le milieu hydrophobe. Ces microorganismes vivent et se déplacent à une vitesse assez importante dans ce milieu, on va dire qu'ils se propulsent à très grande vitesse dans le milieu.
Lors de voyages en pirogue, et bien souvent de voyages obligés, car la pirogue étant le seul moyen de transport, il n'est pas rare que les passagers s'enduisent de cette huile, avant que de s'embarquer sur une pirogue, pour voyager parfois jusqu'au crépuscule. Les populations noires marrons l'utilisent aussi pour les grands trajets sur le Fleuve Maroni. Les, gens du fleuve parcours parfois de longues distances, que ce soit pour les enfants qui vont à l'école, ou tout simplement pour rejoindre un autre village, ou la ville de Saint-Laurent du Maroni, car pas tous le monde ne peut prétendre à une place dans un avion, trop chère pour ces personnes vivants au bord du Fleuve.
Le carapa est riche en acides gras insaturés, l'huile obtenue dégage toujours une odeur d'éther. Très fluide, l'huile de carapa, est utilisée pour les piqûres de moustiques. Dans les pays tropicaux et équatoriaux, il n'est pas conseillé d'utiliser des antimoustiques à base d'alcool, car les rayons du soleil brûlent, les amérindiens, et les locaux, utilisent très souvent cette huile pour partir en randonnées, ou tout simplement afin de passer l'heure ou la nuée de moustiques envahie les fossés, près des maisons, ou dans les villages en forêt, en Guyane française.
Sa Composition…
•Fabriqué en Guyane dans le respect de l’environnement
•Non testé sur les animaux
•Sans colorant, sans produits de synthèse, sans parfum
•Nom botanique : Carapa Guianensis
•Nom vernaculaire : Carapa, Andiroba (au Brésil)
•Huile végétale : macération, et obtention de l’huile de carapa, sous un taux d’hygrométrie adéquat.
•Acides gras : acide palmitique (acide gras saturé se trouvant dans presque toutes les huiles et graisses), acide oléique (acide gras insaturé, principal constituant de l’huile d’olive, comparable de par sa nature chimique à la glycérine), acide stéarique (acide gras saturé, servant à la fabrication de bougies, et présent en grande quantité dans l’huile d’olive), acide linoléique (vitamine F, très présente dans les huiles liquides ), acide arachidique (présent dans les huiles d’arachide, ainsi que dans les huiles d’olive. Le beurre de cacahouète est élaboré à partir de cet acide gras saturé, donc solide), acide linolénique (il est curieux de retrouver cet acide gras insaturé dans le règne végétal, car il constitue essentiellement la composition des huiles grasses animales, et, essentiellement l’huile de poisson !) …
•Procédé d'obtention : macération, et obtention de l’huile fluide de carapa, sous un taux d’hygrométrie adéquat.
Sans danger pour l'environnement
•Sans adjuvants chimiques
Un soin répulsif et anti inflammatoire… Cette recette de fabrication artisanale amérindienne, offre une huile de protection naturelle contre les insectes en tout genre. Protectrice et curative, elle est aussi un anti inflammatoire. L’Andiroba des brésiliens ou Carapa est peut-être la plus connue des matières premières d’Amazonie destinées à la fabrication de produits cosmétiques dans le monde entier. Le fruit de ce grand arbre est assez curieux, car il contient des graines conséquentes, énormément riches en acides gras dits saponifiables. Le Carapa est très prisé en Amazonie, et bien sûr, ici en Guyane, les amérindiens utilisent le fruit ainsi que l’écorce et les feuilles, pour les vertus anti-inflammatoires que celles-ci offrent. Leur façon de faire est ancestrale, et Guyanature s’est empressé d’en étudier les propriétés afin de mettre en œuvre une pratique pouvant être exploitable sur le marché (dans le respect de l’enseignement des populations amérindiennes). Cette huile est transformée au laboratoire afin d’en extraire le principe actif et d’en faire usage dans le cadre de l’élaboration d’un répulsif. En bref le Carapa est doté de propriétés antiparasitaires. En général, l’huile de Carapa est mélangée au shampooing.
Savon de soin au CARAPA - 100g
Voici ce que nous décrivons du savon au carapa :
On reconnaît le Carapa à son écorce grisâtre et mitigée d’un peu de brun. Lorsque l’on sabre l’écorce, et que l’on porte un peu de sève à sa bouche, la saveur est très amère. Cette saveur amère est mise à contribution pour le traitement des fièvres en général. Un genre d’affection dû à un parasite que l’on nomme « plasmodium », le paludisme, ayant causé d’énormes pertes dans les populations amérindiennes, est concerné. Le fruit du Carapa contient des graines conséquentes, énormément riches en acides gras dits saponifiables, donc, susceptibles de se transformer en savon ou de se dédoubler en glycérol et acides gras. Le Carapa, est un puissant répulsif réussissant à éloigner les insectes les plus nuisibles, ainsi que les parasites, et ô miracle, ces affreux acariens qui nous polluent la vie en ayant l’audace de subsister dans les draps, les oreillers, les couvertures, les tapis, les moquettes… enfin tout ce que le bon vieux confort apporte de positif dans la vie moderne. Ce savon de soin naturel au Carapa soulagera vos affections cutanées. Les graines de ce grand arbre, présent en Guyane se sont avérées très efficaces pour traiter les problèmes de peau, ainsi que la cicatrisation.
Pour quels types de peau… Savon préventif et curatif contre les piqûres d’insectes (moustiques, poux d’agouti en forêt Guyanaise, aoûtas, tiques, petites plaies, etc…). Il peut-être aussi utilisé pour soigner des problèmes de peau (psoriasis, eczémas, …), petites coupures, apaiser les démangeaisons, son pouvoir désinfectant reste une valeur sûre en forêt, en campagne. Lors d’un lavage à la main, il rend les tissus (linge) répulsifs. Ce savon de soin naturel est idéal pour les peaux sèches, ainsi que les cheveux secs.
Que ce soit le savon au carapa, ou l'huile de carapa, l'action insecticide et antiparasitaire de la sève de cet arbre est spectaculaire. L'huile que l'on extrait de la, chaire est d'une redoutable efficacité. Lorsqu'on lave les draps ou les vêtements avec le savon au carapa, on s'offre une tranquillité d'au moins vingt quatre heures. Taons et moustiques ne s'approchent que très prudemment, pour s'éloigner aussitôt.
Exemple de texte